Après avoir tenté de codifier le son, je me suis consacré à la codification du geste et à la notation chorégraphique, en analysant les danses de diverses cultures et leurs représentations graphiques.

En m'appuyant sur l'opéra de Pina Bausch, « Orpheus und Eurydike », j’ai pu définir, développer et affiner mon processus d’écriture du geste de manière plus synthétique, testant ainsi son application en temps réel dans une « partition chorégraphique ».

Pour ce projet, j'ai collaboré avec Susanna Marcelino, une chorégraphe professionnelle de Nancy, qui a étudié mon système de notation en détail pendant plusieurs semaines. Le jour du diplôme, nous avons présenté une performance publique où elle interprétait en direct tous les signes que je dessinais, sans pouvoir les voir au préalable.